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ENCORE UN PEU DE PATIENCE!

LES NEWS SONT EN ROUTE!

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Traitement par l'image

A la veille des élections fédérales, il est frappant de voir la différence de traitement médiatique qui persiste entre femmes et hommes politiques. Pas seulement en termes de questions qui leur sont posées dans les interviews (combien de fois est-il demandé aux candidates comment elles font pour concilier vie de famille et vie publique ? Et aux candidats ?) mais également au niveau du traitement de l’image. Cette discrimination influence le choix des électeurs-trices.

Manifestement dans les rédactions, que ce soit en Suisse romande ou bien Outre-Sarine, on aime bien mettre en scène les femmes politiques dans un environnement familier, voire pittoresque, pour ne pas dire ridicule à l’exemple de cette candidate verte qui prend la pause pour le Blick en combinaison verte, sur un banc vert entourée de plantes… vertes. La semaine suivante pour la même série de portraits des candidat-e-s aux élections fédérales intitulées #Wahl-Serie, son collègue UDC, Hans-Ueli Vogt, est représenté lui, en costume-cravate classique, les bras posés sur son bureau, de quoi inspirer une totale confiance aux électeurs-trices.



De son côté, la Tribune de Genève a interviewé les président-e-s des partis cantonaux sans déroger aux règles du stéréotypage genré : gros plans sur les visages et les mains des hommes (sous-entendu d’action forcément) tandis que leurs homologues féminines ont droit à des plans plus larges où elles se touchent l’oreille (un tic probablement, c’est nerveux, c’est une femme), où elles boivent un café (sous-entendu elles glandent toute la journée), où leur sac duquel dépassent des vêtements est posé par terre (preuve qu’elles glandent, elles ne transportent pas de dossiers). Ah si, il y a un gros plan sur la jambe d’une présidente et de son talon aiguille… Sexisme ? Mais où allez-vous chercher une chose pareille ! On ne voit pas de gros plan sur une jambe d’homme et sa chaussure, dites-vous ? Mais sûrement parce que ça n’apporterait rien au débat…

Le paradoxe de ces mises en scènes qui invisibilisent les femmes est total : elles sont photographiées mais par d’habiles subterfuges, soit en les éloignant du premier plan, soit en les camouflant dans un contexte chargé, le photographe, le graphiste et le rédacteur photo finissent par les rendre secondaires. La palme revient sans conteste à l’image faite de Carole-Anne Kast, la présidente du PS genevois, littéralement floutée par le personnage au premier plan, à tel point qu’il devient difficile de l’identifier. Sur la photo, elle n’occupe qu’un cinquième de la surface. Ah c’est de l’art, une sorte de flou artistique ? On ne peut pas comprendre ?



A force de naturaliser les stéréotypes sur les hommes et les femmes en montrant ce qui est «normal» de faire ou pas pour chaque sexe, les médias renforcent les rôles traditionnels assignés aux uns et aux autres. Ils entretiennent ainsi l’idée que les femmes ne sont pas faites pour la politique, puisqu’elles sont naturellement destinées à la sphère privée et familiale. La femme politique est en décalage avec son devoir de mère et d’épouse et devra sans arrêt se justifier sur sa capacité à assumer sa fonction de femme et de femme politique.

Afin de corriger ce traitement différencié grossier et anachronique entre hommes et femmes politiques, les rédactions seraient bien inspirées de combattre les discriminations les plus évidentes en cessant de :
-    réduire les femmes politiques à leur genre (arrêtez de les interroger sur leur couple, leurs enfants, interrogez-les sur leur programme, leurs actions)
-    réduire les femmes politiques à leur corps, leurs vêtements
-    réduire les femmes politiques à leur sexualité (si elles séduisent l’électorat, ce n’est pas du racolage ou alors c’en est au même titre que ce que pratiquent leurs collègues masculins)

Et si une femme est élue, ce n’est ni une transgression, ni du vol, encore moins une usurpation : elle est bien légitime et ne devrait pas avoir à se justifier à longueur de temps. Le 18 octobre, votez femmes !

Photos extraites de la Tribune de Genève et du Blick

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L'accouchement sous contrôle

Alors que Genève a prévu d’inaugurer «la plus grande maternité de Suisse» en 2016 avec 12 salles d’accouchement et 134 lits pour accueillir 4000 naissances par an, le succès des maisons de naissance et leur environnement plus intime va grandissant. Au-delà du choix qui s’offre aux futures mères, il y a surtout un enjeu économique et idéologique. Et en fin de compte, le corps des femmes fait encore et toujours l’objet de tous les contrôles.

Chaque année, quelque 5300 bébés voient le jour dans le canton, la plupart aux HUG. Depuis 2009, la première maison de naissance Dix-Lune a ouvert ses portes à Puplinge pour proposer aux femmes une alternative au cadre ultra-médicalisé de la maternité. En 2012 à Genève, La Roseraie a été la seconde structure de ce type à se lancer dans cette voie. Cette maison s’apprête d’ailleurs à accueillir son 200ème nouveau-né. Si l’accouchement au naturel avec un accompagnement personnalisé sans consulter de médecin sauf pour les échographies de contrôle séduit de plus en plus, il n’est pas sans risque. En moyenne, 30% des femmes doivent être transférées à l’hôpital en raison de complications survenues au cours de l’accouchement. C’est du moins ce qu’affirment les médecins qui rappellent que le taux de mortalité des nouveau-nés est trois fois supérieur lorsque la naissance n’est pas médicalisée. Ils soulignent également l’éloignement des maisons de naissance qui augmente d’autant le risque. Certains dénoncent même le fait que les sages-femmes qui veillent sur les parturientes tardent à les transférer vers l’hôpital en cas de problème. Bref, ce sont deux conceptions qui s’affrontent.

L’enjeu économique est de taille pour les HUG étant donné le coût de la nouvelle maternité (217 millions pour les trois premières étapes, 161 millions pour la dernière) : le taux d’occupation des lits doit être maximum. Dans l’hypothèse où les femmes déserteraient massivement l’hôpital pour aller vers les maisons de naissance, le retour sur investissement ne serait pas garanti. D’un autre côté, les sages-femmes indépendantes ne peuvent que se réjouir du succès grandissant de leurs maisons de naissance. L’accouchement est peut-être un bon business mais les femmes dans tout ça ? On leur tricote un discours sur mesure de part et d’autre afin de les attirer dans les filets. Sécurité, nature, peur, culpabilité, responsabilité, on joue sur différents registres avec en arrière-plan le spectre de la mauvaise mère (et son pendant la bonne mère). De la même manière que les discours qui entourent le recours à la péridurale ou l’allaitement, les femmes tombent sous le coup d’injonctions en tout genre qui brouillent la lisibilité de la situation et qui entravent leur liberté de choix. Ce ne sont plus des informations qu’on leur livre mais bien des idéologies sous-tendues par des logiques économiques, politiques et sociales.  Pourquoi devrait-on souffrir en accouchant ? Pourquoi n’aurait-on pas la possibilité de donner naissance comme à la maison ? Il semble qu’il y aura toujours des gens bien intentionnés pour dire aux femmes ce qui est bon pour elles.

Photo DR

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L'égalité n'est pas la mission de Wikipédia

Le 29 septembre prochain, l'Université de Genève, la Fondation Emilie Gourd, Carrière2 et Wikimedia.ch organisent une conférence sur Wikipédia, l'encyclopédie collective, participative… et controversée. Notamment réputé sexiste, le projet a ses adeptes. l'Emilie a posé quelques questions à l'une des intervenantes, l'ancienne présidente de la Wikimedia Foundation, Florence Devouard.


Pourquoi les contributrices à Wikipédia sont-elles toujours aussi rares?
Nous n'avons aucune statistique exacte du taux de contributions des femmes à Wikipédia, car la participation ne requiert pas de fournir des informations sur le genre. Les données dont nous disposons sont le plus souvent le résultat de sondages, auquel la participation est volontaire, ce qui introduit certainement un biais significatif. Les différentes études évoquent un taux de contribution qui oscille entre 10 et 20% et seraient plutôt de 25% aux Etats-Unis. Je qualifierais cela de "faible" mais pas de "rare". Les études sont également un reflet de la situation à un moment donné. Je ne connais pas d'étude probante permettant de conclure que le taux de participation évolue de façon significative ou pas.

Pourquoi 90% environ de nos contributeurs sont-ils des hommes ? C'est une question qui a fait couler beaucoup d'encre. Il y a beaucoup de réponses possibles:
- une interface logicielle un peu trop technique et peu engageante (l'éditeur visuel a cependant été mis en place depuis les premiers sondages);
- une politique éditoriale assez rigide, imposant une écriture très réglementée;
- une atmosphère plutôt agressive, souvent conflictuelle, nécessitant discussions pointues et négociations parfois féroces et peu bienveillantes vis-à-vis du nouveau venu;
- peu de fonctionnalités facilitant les interactions sociales (ceci a été amélioré depuis les premiers sondages);
- certains signalent des commentaires sexistes (voire pire) (mais des sondages soulignent que la majorité des wikipédiennes n'estiment pas avoir été victimes de sexisme);
- les femmes auraient moins de temps libre que les hommes pour participer (c'est sans doute vrai pour une femme de 40 ans avec enfants et travail. Moins crédible pour une étudiante);
- dans de nombreux pays, les femmes sont moins éduquées que les hommes (probablement pas le cas de la Suisse);
- dans de nombreux pays, les femmes ont moins accès à Internet que les hommes (probablement pas le cas de la Suisse).

Toutes ces raisons peuvent avoir leur graine de vérité. Plus ou moins. Mon sentiment personnel est tout simplement que, au moins dans les pays européens, les femmes préfèrent utiliser leur temps libre différemment des hommes en général, et choisissent peut-être plutôt de chanter dans une chorale, être parent représentant pour la classe de leur enfant, organiser une bourse aux livres, monter une association de soutient à des malades, ou partager des photos de cuisine sur Facebook que de se prendre la tête sur un site Web avec des inconnus.

En tous cas, dans une chorale, on manque toujours de basses et de ténors...

N'est-ce pas le reflet de ce qui se passe un peu partout sur le Net?
Je ne pense pas être suffisamment informée de ce qui se passe "un peu partout" sur le Net pour pouvoir répondre à cette question.

Quelles solutions préconisez-vous?
De commencer par se poser la question de savoir si seulement 15% de contributeurs femmes... est un problème. Ou seulement une apparence de problème.

Car la mission de Wikipédia n'est pas d'assurer l'égalité homme-femme. La mission de Wikipédia n'est pas de s'assurer de la contribution de tous. La mission de la communauté Wikimédia est de collecter le savoir humain et le mettre à la disposition du plus grand nombre. Wikipédia en elle-même n'est pas l'objectif non plus, l'objectif est la mise à disposition d'un socle de connaissances, réutilisable, améliorable, par tous sur Wikipédia ou ailleurs, grâce à la licence libre.

La vraie question est donc "15% de femmes seulement : est-ce que cela nous empêche de remplir notre mission ?"

Ce qu'il faut mesurer n'est pas tant le pourcentage de participants de sexe féminin, mais plutôt le degré de biais qui existe dans le contenu encyclopédique. Par exemple, les femmes scientifiques notables font-elles l'objet d'un article au même titre que les hommes scientifiques ? Les articles sont-ils d'aussi bonne qualité ? Les articles sont-ils aussi bien mis en valeur ?

Si un biais est identifié, il suffit le plus souvent d'en parler, de soulever le problème, le plus sereinement possible. Peu importe qui va corriger le biais, un homme, une femme, un queer ou une mite en pullover.

Quand cela ne suffit pas, il faut observer les initiatives qui se sont mis en place ces dernières années. Et elles sont nombreuses. Voici quelques pistes:
* mise en place du teahouse (espace d'accueil bienveillant pour les nouveaux venus sur la Wikipédia anglophone)
* organisation d'édit-athon (ateliers de rédaction visant à compléter les contenus sur les femmes ou à former des contributrices);
* création de la gendergap list (liste de discussion dédiée à la thématique du gender gap sur Wikipédia) au soutient à la recherche académique sur le sujet;
* conception d'une "friendly space policy" (règles comportementales à respecter lors des rencontres dans la vie réelle)
* lancement de l'Inspire Campaign (campagne de financement proposée par la Wikimedia Foundation pour les projets visant à réduire le GenderGap)

Le gender gap n'est pas le seul biais systémique identifié sur Wikipédia. L'âge, le niveau d'éducation, l'origine géographique, la langue en sont d'autres. Je suis particulièrement sensible à la très faible représentation des Africains sur Wikipédia, à la fois en terme de contributeurs et en terme de contenu. Depuis deux ans j'organise avec une wikipédienne sud-africaine un concours photographique à l'automne, qui vise à la fois à sensibiliser les Africains à la contribution et à augmenter les contenus en rapport avec la culture africaine. Sans que ce concours soit catégorisé dans les actions visant à réduire le "gender gap", nous sommes attentives à ce que le thème choisi chaque année soit un thème transversal, proche des  préoccupations féminines. Ainsi, le thème 2014 était la "Cuisine". Le thème 2015 porte sur les "tenues et parures traditionnelles".

Les femmes créent d'autres espaces, d'autres réseaux et y trouvent leurs propres ressources en dehors d'un Wikipédia peu accessible, n'est-ce pas l'alternative?
Je ne comprend pas pourquoi vous qualifiez Wikipédia de "peu accessible". Wikipédia est ouverte à tous, à la condition de respecter la ligne éditoriale et les autres contributeurs.

Où en est la gender gap task force après l'éviction de la féministe Carol Moore?
Permettez moi de fournir un peu de contexte. Carol Moore fut une contributrice de Wikipédia pendant plus de huit ans. Elle participait au projet "WikiProject Countering systemic bias/Gender gap task force" mis en place sur la Wikipédia anglophone (il s'agissait donc d'UNE des multiples initiatives existantes sur cette question du Gender Gap). Carol Moore s'est fait remarquer par un comportement peu raisonnable à de nombreuses reprises. Ce qui a mené à son bannissement pour une durée d'un an fin 2014. N'étant pas moi-même membre de ce groupe, je peux difficilement mesurer l'impact du bannissement de Mme Moore sur le fonctionnement du groupe. En revanche, le groupe est toujours clairement actif.

Photo © Wikipedia

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