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"Il faut que ça bouge, c'est impératif"

Le service égalité de l'UNIGE vient de publier un rapport d'activité particulièrement dense et dynamique, à l'image de sa directrice, Brigitte Mantilleri qui mène sa mission avec une rare détermination. Interview.

l’émiliE :Le dernier rapport d’activité témoigne de deux années intenses. L’avenir s’annonce-t-il aussi dense sur le front de l’égalité ?
Brigitte Mantilleri : Certainement ! Il s’agit des deux premières années du fameux Plan d’actions égalité@UNIGE 2013-2016 que j’ai mis en place en concertation avec le rectorat. Après ces deux années de lancement, il y aura autant à faire parce que nous devons intégrer les éléments manquants. Et puis avec l’effet boule-de-neige, nous avons agrégé des actions extérieures. Ce qu’il faut surtout retenir, c’est qu’avec ce plan d’actions, nous sommes enfin entrées dans les facultés. Jusqu’alors, j’étais liée au rectorat et mon action était très centralisée. Aujourd’hui, je travaille en plus avec neuf entités, les neuf facultés, ce qui me place au cœur de ce qui devrait bouger.

Ces actions visent aussi le grand public, elles ne sont pas uniquement tournées vers l’Université, pourquoi ?
J’ai toujours eu ce souci, d’une part de viser le public académique et les problématiques des femmes au sein de l’institution, et d’autre part de faire bouger les mentalités en organisant des conférences et des actions qui vise un public plus large au niveau de la ville et du canton. Pourquoi élargir ? Nous avions remarqué lors d’un événement conjoint avec le Career Women’s Forum (CWF), une association d’entrepreneurs, que les professeures avaient été sensibles au fait que les femmes du privé rencontraient finalement les mêmes problèmes qu’elles dans la poursuite d’une carrière de haut niveau. Comme elles, elles faisaient part d’un certain isolement à leur poste. Du coup, ces échanges ont eu un impact assez positif en termes de prise de conscience et de mise en place de réseaux. Pour moi, le mélange des genres est toujours intéressant parce que cela permet de changer de point de vue, de réfléchir plus largement et de reprendre des forces.

Et je suis très attentive à mes budgets. J’ai conscience que ce sont mes concitoyen-ne-s qui financent nos activités et je trouve normal de pouvoir toucher le plus de monde possible: un maximum d’impact avec un minimum de dépenses. M’allier au canton, à la ville permet à la fois de maîtriser les coûts, de partager les idées et compétences, tout en augmentant la visibilité. J’implique aussi les associations puisque je viens de là. Je ne veux pas perdre le lien avec le terrain. Parce que derrière tout ça, il y a une autre réflexion: l’égalité, ce ne sont pas juste des femmes qui réussissent, il faut inclure tout le monde, ça passe par l’égalité sociale. On ne travaille pas uniquement pour que quelques-unes se retrouvent au top avec quelques-uns. Est-ce que c’est intéressant pour la société dans son ensemble ? Je ne pense pas.

Pour autant, malgré toutes ces actions, la relève égalitaire progresse peu. Comment l’expliquez-vous ?
Si on regarde les chiffres, c’est vrai que c’est lent. Par contre, on remarque qu’au niveau des professeur-e-s associé-e-s, on avance à Genève avec nos 35%, par contre on reste bloqué à ce 17% de femmes PO. Alors qu’on a 62% d’étudiantes, il est clair que ça bugue quelque part. Mentalités, structures, c’est là-dessus que nous devons travailler encore et encore. C’est un engagement quotidien. Il faut changer les habitudes à l’Université. Mais en discutant depuis deux ans avec les personnes concernées, doyens, profs, je vois que les choses sont en train de bouger. Au début, on me recevait de manière un peu fraîche, maintenant on discute, il y a des prises de conscience et des envies d’évoluer. Maintenant, si on a réussi à interpeller les gens, il faut que ça se traduise enfin dans les chiffres. Au final, on n’arrive toujours pas à dépasser ce maudit seuil de 20% dont parle Brigitte Grésy, même pas en Suède.

C’est la thématique prioritaire à l’Université ?
Pas seulement. On fait porter l’effort plus globalement. A partir du 15 juillet 2015, je suis rattachée directement au recteur, ce qui signifie un positionnement que je demandais depuis des années qui permet d’aborder les problématiques de manière transversale. Cela rend notre action plus mobile, plus rapide aussi. On est sur la bonne voie. A côté de ça, je reçois beaucoup de femmes en souffrance qui doivent faire face au sexisme ordinaire, c’est aussi une des raisons de mon engagement. A partir de là, il faut que ça bouge, c’est impératif.

Ne regrettez-vous pas la liberté de manœuvre que procure le militantisme de base ?
Certes, j’ai des énervements face à certains blocages qu’on pourrait éviter. Je travaille différemment, j’apprends à œuvrer dans un mélange de diplomatie, de fermeté, de persévérance. Et lorsqu’enfin ça bouge, c’est la preuve que ça fonctionne. Les intentions sont là, les gens ont envie d’avancer, je le constate tous les jours. C’est différent… Evidemment, je ne suis pas directe de la même manière que lorsque j’étais en milieu associatif. Mais je suis dans une institution dynamique entourée d’une très bonne équipe, ce qui permet d’agir de façon satisfaisante.

Vous avez d’ailleurs renouvelé votre équipe presque entièrement…
Oui, de l’équipe précédente, une seule personne est restée. Juliette Labarthe a une énorme connaissance de l’institution et travaille sur le plan d’action et la Délégation à l’égalité. Ensuite Fabienne Giachino, je l’ai engagée parce qu’elle travaillait chez Swissair, un gage de débrouillardise pour moi, elle sait tout faire et gère maintenant tous nos budgets très complexes. Olivia Och est chargée des programmes de mentorat, des ateliers et a modernisé toute la manière de travailler et je viens d’engager Coline de Senarclens issue de la Slutwalk.

Pourquoi avoir engagé une figure controversée du féminisme local ?
Je ne m’en tiens pas aux a priori. Dans le cadre du bureau, Coline est très structurée, très efficace, dynamique et enthousiaste. Elle gère nos réseaux sociaux et les Subsides tremplin. Je canalise son action, entendons-nous, elle n’est pas ici pour représenter la Slutwalk.

Votre bilan depuis deux ans est plutôt porté par l’optimisme ou bien ?
En ce moment oui, j’ai l’impression qu’on avance. Je suis pragmatique. Avec la vice-rectrice, madame Margareta Baddeley, nous avons fait un gros travail de recadrage, de mise à plat des législations parce qu’avec le temps, les gens oublient qu’ils sont soumis à des contraintes et qu’ils doivent respecter des textes en matière d’égalité. Au final, on a des instruments qui fonctionnent, une équipe de président-e-s de commission de l’égalité engagée et enthousiaste, des mentores qui sont parfaites. Ce qui m’enchante, c’est l’arrivée de la nouvelle rectrice de Lausanne qui a dit à peine élue qu’elle allait s’engager pour qu’il y ait plus de professeures à l’Université. Ce mouvement est porteur. C’est toujours bien d’utiliser les exemples de ce qui se fait ailleurs pour faire avancer notre propre action ici.

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Nouria Hernandez, première rectrice de l'Unil

Nouria Hernandez, biologiste spécialiste du génome, vient d’être élue rectrice avec deux tiers des voix, par le Conseil de l’Université de Lausanne, composé de professeur-e-s, de représentant-e-s du corps intermédiaire et des étudiant-e-s. C’est la première fois dans l’histoire de l’université vaudoise qu’une femme sera à sa tête. Rencontre avec une pionnière.

l’émiliE : Vous êtes la première femme à accéder au poste de rectrice de l’université de Lausanne depuis sa création en 1537, avez-vous conscience d’ouvrir une brèche ?
Nouria Hernandez : Je pense que la brèche a vraiment été ouverte lorsqu’une rectrice a été élue à la tête d’une université en Suisse. Ça c’était historique. Maintenant ça devient plus courant, il y a plusieurs universités en Suisse qui ont ou qui vont avoir à leur tête une rectrice. Mais ça fait plaisir que ce soit aussi le cas à Lausanne.

Et vous-même, en tirez-vous une fierté particulière ?
Je dirais que ça met une pression supplémentaire. Quand on est une femme et qu’on a un poste à responsabilité, on n’a pas droit à l’erreur. Si jamais notre boulot n’est pas parfait, le premier reproche qui nous sera formulé, c’est «ah, mais c’est parce que c’est une femme qu’elle n’a pas su faire le travail» alors que pour un homme on va dire «ah, il n’a pas su faire le travail» et c’est tout sans le relier à son genre. C’est donc une pression qu’il faut pouvoir ignorer autrement on ne fait plus rien.

Vous êtes en quelque sorte condamnée à l’excellence ?
Oui enfin «condamnée»… L’excellence est une valeur à laquelle j’aspire de toute façon, mais il est vrai qu’on a plus peur de ne pas l’atteindre quand on est une femme, parce qu’on vit avec ce paramètre «elle n’y arrive pas parce qu’elle est une femme».

Vous allez prendre vos fonctions dans un an seulement, cela vous laisse le temps de vous préparer. Vous êtes impatiente ?
Je suis très contente que ce ne soit pas immédiat. J’ai beaucoup à faire dans cette année qui vient, notamment dans mon laboratoire de recherche, car dans un an mon activité va considérablement y diminuer. J’aimerais aussi me préparer au mieux pour le métier de rectrice qui m’attend et réfléchir à l’impulsion que je voudrais donner en tant que rectrice. Au départ, on a des tas d’idées mais on est vite rattrapé-e par la réalité, je devrai probablement limiter mes ambitions. Pour l’heure, je sais ce que je veux faire en gros mais je dois travailler sur comment le faire, comment le rendre possible.

Alors justement quel sera votre plus grand défi ?
Dans une université, on ne peut rien faire si on n’a pas la grande majorité des gens avec soi. Le milieu universitaire est constitué de personnalités très fortes, de gens très intelligents et s’ils ne sont pas d’accord avec votre démarche, il est impossible d’avancer. Un des défis sera de convaincre les gens et de les faire adhérer aux projets. D’où l’importance de trouver des projets fédérateurs qui concernent toutes les facultés. Je suis biologiste et j’ai bien sûr un intérêt en biologie et en médecine mais je ne peux pas me limiter à cela en tant que rectrice. Je ne représente pas les intérêts de la faculté de médecine et biologie à ce niveau. Il faut avoir une base unie et commune de façon à avancer.

La durabilité à laquelle vous attachez une grande importance serait un de ces projets fédérateurs ?
J’entends la durabilité dans le sens de la maîtrise de notre avenir. L’Université de Lausanne fait déjà beaucoup, c’est la seule en Suisse à avoir un dicastère qui s’occupe de durabilité. Pour ma part, j’aimerais que les gens prennent conscience que ce n’est pas un problème technologique, un nouveau panneau solaire ne suffira pas à résoudre le changement climatique. C’est un problème de société qui nous concerne tous et toutes. Il faut changer notre modèle de croissance. La croissance à court terme n’est plus un modèle viable. On doit impliquer tous les domaines de recherche pour éviter le pire : sociologues, politologues, évidemment économistes, tout le monde doit réfléchir à un autre modèle qui ne soit pas basé sur la croissance mais qui permette quand même la prospérité. Les religions, les lettres, les historien-ne-s, un tel projet devrait pouvoir intéresser tout le monde. Mais une fois encore, je ne peux pas imposer cette direction. Je peux juste convaincre.

L’égalité s’inscrit-elle dans ce programme ?
L’Université de Lausanne a déjà une vision en la matière. Je pense qu’il faut augmenter le nombre de professeures, cela déclenchera une sorte de cercle vertueux.

Dans quel sens ?
Cela donne un modèle à nos étudiant-e-s : on peut être une femme, professeure d’université et avoir une vie de famille. Beaucoup pensent encore que devenir professeure signifie renoncer à tout le reste. C’est possible même si ce n’est pas simple.

Il y a aussi le plafond de verre qui limite la progression des femmes ou bien?
Dans ce que j’observe, trouver un travail en milieu académique implique d’être mobile. Dans mon cas, j’ai trouvé ce poste aux Etats-Unis où je faisais un stage post-doctoral. Ce n’était pas mon pays, je n’avais aucune raison de rester là-bas. Si j’avais eu une famille à ce moment et que mon mari travaillait en Suisse, la décision aurait été douloureuse, j’aurais eu à choisir.

Certes, mais le problème n’est pas toujours un choix personnel, la disproportion s’explique par le fait que l’institution privilégie les hommes au détriment des femmes…
Oui bien sûr, cela se produit probablement dans certaines facultés où la proportion de femmes professeures est très basse. Il y a encore cette culture-là, mais on peut corriger ce problème, c’est une question de volonté.

Vous pensez corriger cette disproportion au niveau des postes de professeur-e-s ?
J’espère. Déjà, on doit s’en tenir aux mesures pratiques : quand il y a des candidats pour un poste, on doit veiller à ce qu’il y ait des candidates quitte à prolonger le délai de dépôt de candidature. Ensuite au moment de la sélection, on doit combattre cette tendance actuelle qu’il y a de croire qu’un homme est plus compétitif, plus dédié à réussir.

Aujourd’hui, une mobilisation des assistant-e-s de l’Unil dénonce la précarisation de leurs postes et l’absence de dispositifs de recours en cas de conflit avec la/le directrice-eur de thèse. Quelle est votre position ?
C’est un peu difficile pour moi de m’exprimer sur ce sujet. En faculté de biologie et de médecine, il y a un comité et pas une seule personne responsable face à l’étudiant-e. Pour le problème des contrats renouvelables (1+2+2), je suppose qu’on pourrait améliorer le fait que le renouvellement soit une décision prise de manière plus collégiale et pas uniquement par le/la directeur-trice de thèse. Pour autant le/la directeur-trice de thèse a une expérience et est à même d’évaluer la capacité d’un-e étudiant-e à aller jusqu’au bout. Après une année, on peut savoir si la personne est faite pour continuer sa thèse. J’en ai discuté avec les représentant-e-s des thésard-e-s qui veulent un contrat de cinq ans et sur ce point je ne suis pas d’accord. Mais comme je le disais, il y a des améliorations à faire sur tout le processus.

Vous avez déclaré «croire dans le pouvoir de l’individu». Pas dans celui du collectif ?
Ah non, ça ne veut pas dire ça. En Europe, je perçois un certain pessimisme. Je crois qu’en tant qu’individu, on peut changer les choses. De ça, les Américains sont persuadés. On dit toujours qu’ils ont un optimisme naïf, c’est peut-être vrai, mais je retiens surtout le mot optimisme. Par ailleurs, l’individu peut organiser la collectivité. Et chaque individu a quelque chose à apporter.

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2e pilier: 22% des rentes aux femmes

Chaque année, les institutions de prévoyance versent plus de 50 milliards de francs au titre des rentes de vieillesse. Selon une étude de la Banque Migros, les disparités entre les sommes allouées aux hommes et aux femmes seraient considérables, notamment au niveau du deuxième pilier. En cause, le travail à temps partiel et l’inégalité salariale.

En matière de prévoyance professionnelle, la répartition des rentes s’opère à 78% en faveur des hommes et à 22% en faveur des femmes. Ce sont quelque 20 milliards qui sont ainsi versés essentiellement aux hommes. Cette disparité s’explique par le fait que la prévoyance professionnelle dépend de l’importance des versements effectués, l’employeur en prenant au minimum la moitié à sa charge. La faiblesse des montants versés aux femmes reflètent un taux d’activité et un salaire moyen plus bas. Si l’étude souligne que le fossé se comble petit à petit, il faut noter que c’est à un rythme particulièrement lent : en dix ans, la part des rentes versées aux femmes n'a augmenté que de 4%.

Toujours selon la Banque Migros, il s’agit également de prendre en compte des facteurs particuliers tels que les retraits de coordination en cas de travail à temps partiel ou les conséquences d'un divorce. La répartition inégale des rentes des caisses de pension (LPP) est toutefois compensée par l'AVS, les femmes touchant 58% des 32 milliards de francs versés chaque année pour les retraites. Motif principal : leur espérance de vie est supérieure aux hommes de trois ans en moyenne. En raison du système de répartition de l’AVS, les femmes profitent de surcroît des contributions salariales plus élevées des hommes.
A noter que chaque année, le montant versé par l’AVS et la prévoyance professionnelle augmente de 1,5 milliard.

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